Les agriculteurs et les éleveurs d’Álava sont confrontés à une multitude de difficultés qui étouffent le secteur, telles que le manque de soulagement générationnel, entre autres

C’est un secteur essentiel qui fait partie de l’ADN d’Alava mais qui traverse l’un des moments les plus critiques de son histoire. Le secteur de l’agriculture et de l’élevage est tombé en termes réels aux niveaux des années 1990, une situation qui complique les professionnels de ce secteur, principalement, mais aussi le reste de la population d’Álava, car les dommages secondaires L’inflation et la hausse constante des prix tels que l’énergie (+ 50 %), l’alimentation animale (+ 35 %) ou les produits phytosanitaires (+ 20 %), par exemple, ainsi que le contexte actuel de changement climatique, entravent la rentabilité des agriculteurs et des éleveurs.

Mais même avec ce côté sombre de la balance, les professionnels envisagent l’avenir avec optimisme, cherchent à attirer de nouveaux talents dans le secteur qui garantit le changement générationnel, et ils envisagent les nouveaux défis avec détermination. Afin de parler, de débattre et de connaître cette véritable radiographie que traverse l’agriculture d’Álava, et avec différents professionnels, DIARIO DE NOTICIAS DE ÁLAVA a organisé une réunion qui peut être vue en différé et qui raconte l’actuel situation de ce secteur, dans son aspect le plus négatif, comme le positif.

Modéré par le directeur du journal Diario de Noticias, Víctor Goñi, six professionnels avec une vaste expérience se sont rencontrés : Andrés García (directeur général de Garlan) ; Goio Manrique (directeur de l’organisation et de la transformation numérique HAZI) ; Maite Corres Manero (coordinatrice technique du secteur des coopératives agro-alimentaires Konfekoop) ; Olatz Unamunzaga (responsable innovation et technologie chez Neiker), Jesús Manuel Moreno (directeur commercial et marketing de Udapa Sociedad Cooperativa) et Luis García Hernández (chef du département agriculture de Caja Rural de Navarra).

Le secteur de l’agriculture et de l’élevage est à la recherche de nouveaux talents pour assurer le changement générationnel

Également organisé dans le parc technologique d’Álava, il est parrainé par Rural Kutxa, Esconsu, Garlan, HAZI, Konfekoop, Neiker et Udapa. Ces prochaines lignes recueilleront les informations les plus remarquables de cette réunion et les conclusions qui sont claires : le secteur de l’agriculture et de l’élevage est essentiel pour le territoire d’Álava et un plus grand soutien est nécessaire de la part du consommateur, en soutenant et en pariant sur une alimentation biologique et de kilomètre zéro, un régime d’Álava qui, en plus de bénéficier à la santé de chaque citoyen, stimule également l’économie du territoire et soutient le travail des centaines d’éleveurs et d’agriculteurs qui travaillent chaque jour dans les champs malgré les situations compliquées auxquelles ils sont confrontés .

Maite Corres Manero

Konfekoop est la Confédération des coopératives d’Euskadi qui compte un total de 1 400 coopératives associées, dont jusqu’à 70 sont des coopératives agroalimentaires. A l’occasion de la participation de Konfekoop au meeting Agro, « ils veulent diffuser les résultats du AGROSMARTglobal, un projet européen qui a réussi à apporter les bonnes pratiques aux coopératives agroalimentaires pour internationaliser et commercialiser leurs produits avec des outils numériques.

Vous pouvez accéder à une batterie de contenus de formation générés sur ce lien (https://www.agrosmartglobal.eu/mooc/). De même, les coopératives ont participé à des expériences pilotes testant les principales plateformes de commerce électronique et partageant des connaissances et de meilleures expériences avec des coopératives d’autres régions du sud-ouest de l’Europe, dans le but principal de promouvoir leurs produits et d’être plus compétitives », déclare Maite Corres, technicienne. coordinateur. .

Aujourd’hui, être propriétaire d’une ferme, c’est être Monsieur et Madame Femme d’Affaires.

Maite corres Manero – Konfekoop

« À Álava, la coopérative agricole compte 360 ​​personnes qui travaillent. De ce nombre, la grande majorité est employée par d’autres ; c’est un niveau d’emplois important », dit Corres. Et cela encourage également les citoyens à miser sur la nourriture d’Álava, sans acheter de nourriture « qui nous est moins difficile à préparer ».

 

Photo et texte : ADN.

Date de l’événement : 16/02/2023.

Traduction française : Google Traduction.